Endométriose, SOPK

Endométriose

L’endométriose est une maladie qui touche un peu plus d’une femme sur dix.

Parfois discrète, elle peut venir handicaper les femmes qui en sont atteintes, les faisant souffrir parfois au quotidien.

Depuis quelques années, l’alimentation anti-inflammatoire a montré des résultats bénéfiques sur la gestion des symptômes de l’endométriose, en complément des traitements classiques. C’est en effet en travaillant en équipe avec les autres spécialistes de la maladie (gynécologues, kinésithérapeutes, ostéopathes, algologues…) que nous pourrons vous soulager, vous faisant gagner en qualité de vie.

Votre douleur, vous devez la gérer parfois seule, votre entourage ne comprenant pas ce que vous ressentez.

Dans mon cabinet, vous trouverez une oreille attentive à votre malaise et ensemble nous établirons une alimentation qui peut vous aider à mieux vivre au quotidien cette maladie.

Je connais votre douleur pour la partager également alors n’hésitez pas à venir chercher du soutien, des conseils et astuces qui m’ont réussi et que je partagerai avec vous.

Je consulte en cabinet mais également en téléconsultation, je suis donc disponible pour toutes, quelque soit la distance.

Protocole « Endométriose » – Déroulé du suivi diététique

Suite à votre prise de rendez-vous, un questionnaire vous sera envoyé. Il permet d’ouvrir votre dossier patient en recueillant des données personnelles et de mieux comprendre le motif de votre consultation.

Si vous avez un bilan biologique de moins de 3 mois ou un traitement en cours, il peut être utile de le partager avec moi, ainsi mes conseils seront davantage personnalisés à votre cas.

Durant cette consultation qui dure en moyenne en 1 heure, je prends le temps de vous écouter, de prendre connaissance de vos symptômes et de vos attentes. Je retrace votre parcours de santé et je vous explique comment se déroule le suivi diététique dans le cadre de l’endométriose.

Cette étape est essentielle car elle permet de rentrer directement dans l’action et de voir des symptômes s’atténuer en changeant des comportements pas forcément alimentaires mais qui ont une répercussion sur la sphère digestive. C’est un accompagnement bienveillant qui permet d’agir en douceur.

Durant cette étape, qui peut être facultative, nous concentrons nos efforts sur la santé de l’intestin. Car changer ce qu’il y a dans notre assiette peut être inefficace si l’intestin est fatigué ou mal en point. Et l’endométriose le fragilise par l’inflammation qu’elle entretient…

Parce que c’est parfois un organe mal connu ou mal aimé, il faut apprendre à le chouchouter. Microbiote intestinal, transit intestinal, probiotique, prébiotique,… à la fin de cette étape, ces termes n’auront plus de secrets pour vous.

A cette étape, une supplémentation peut vous être proposée.

Une fois les étapes précédentes passées, place à l’équilibre dans l’assiette : un journal alimentaire vous sera fourni à la fin de cette consultation. Il sera indispensable de le remplir le plus précisément possible sur une semaine complète. L’étude de vos habitudes alimentaires permettra d’évaluer la qualité de vos consommations quotidiennes et de mieux connaitre vos préférences alimentaires.

Ce travail sera à renvoyer par mail avant la consultation suivante, ce qui me laissera du temps pour étudier en profondeur vos apports journaliers. Une synthèse vous sera faite lors de la consultation suivante et je vous exposerai les ajustements nécessaires à l’équilibre alimentaire de vos repas quotidiens.

Cette étape est essentielle avant même de penser à une éviction alimentaire quelconque. Si votre alimentation est déséquilibrée, vous pouvez être sujette à des carences en vitamines et/ou minéraux qui empêche votre organisme de fonctionner de manière optimale.

Une supplémentation en micronutriments peut vous être proposée à cette étape.

L’endométriose est une pathologie hormonodépedante. Il est donc essentiel de comprendre l’influence que peut avoir notre alimentation et notre environnement sur la modulation de nos hormones.

Dans ce module, nous ferons le point sur les perturbateurs endocriniens et l’impact des traitements hormonaux sur la gestion du poids.

Parce que l’alimentation n’est pas miracle mais qu’elle a un rôle clé sur notre santé, c’est à cette étape que je pose avec vous les bases de l’alimentation anti-inflammatoire, avec un programme alimentaire adapté à votre cas, ainsi qu’un guide en cas de crise.

Pour éviter des évictions alimentaires inutiles qui compliqueraient votre quotidien et pourraient créer des frustrations, je pourrai vous proposer de réaliser un test d’intolérance alimentaire (facultatif).

Pour éviter des évictions alimentaires inutiles qui compliqueraient votre quotidien et pourraient créer des frustrations, je pourrai vous proposer de réaliser un test d’intolérance alimentaire (facultatif).

Si à la suite de cette étape, un syndrome de l’intestin irritable est diagnostiqué (par votre médecin traitant ou un gastro-entérologue), un protocole pauvre en Fodmaps peut vous être également proposé.

Cette étape peut être facultative si vous êtes déjà la pro de l’organisation des repas. Dans le cas contraire, nous verrons ensemble comment mettre en pratique ce que nous aurons vu précédemment, en établissant un modèle de planning de menus respectant vos contraintes alimentaires.

L’endométriose est une maladie inflammatoire chronique qui peut évoluer (favorablement ou non) dans le temps. Il peut donc être nécessaire de faire le point annuellement pour ajuster les recommandations nutritionnelles.

Ce peut être également l’occasion d’adapter son alimentation à des périodes clés comme une grossesse, un allaitement ou une ménopause, qui elles aussi, peuvent induire des dérèglements physiologiques symptomatiques ou des inquiétudes au sujet de l’équilibre alimentaire.

Pour en savoir plus sur le lien entre l’alimentation et l’endométriose :


Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

Le syndrome des ovaires polykystiques est elle aussi une maladie féminine qui pèse sur le quotidien de très nombreuses femmes. En effet, près de 2 femmes sur 10 en sont atteintes, impactant leur quotidien, ou de manière invisible. Pathologie hormonale, elle provoque une prise de poids difficilement contrôlable, mais également d’autres symptômes liés à des dérèglement hormonaux. Et parfois, le SOPK est associé à de l’endométriose…

Je peux vous accompagner pour trouver l’alimentation qui vous soulage et vous fait gagner en confort de vie. Car s’il n’existe pas de traitement qui soigne le syndrome des ovaires polykystiques, il est possible de réduire les désagréments quotidiens en jouant sur les facteurs environnementaux que sont l’alimentation et l’hygiène de vie.

Ne restez pas seule ! Au cabinet ou en téléconsultation, je serai une oreille attentive à votre douleur et un soutien dans votre lutte pour retrouver une vie active et apaisée.


Protocole « SOPK » – Déroulé du suivi diététique

Suite à votre prise de rendez-vous, un questionnaire vous sera envoyé. Il permet d’ouvrir votre dossier patient en recueillant des données personnelles et de mieux comprendre le motif de votre consultation.

Si vous avez un bilan biologique de moins de 3 mois ou un traitement en cours, il peut être utile de le partager avec moi, ainsi mes conseils seront davantage personnalisés à votre cas.

Durant cette consultation qui dure en moyenne en 1 heure, je prends le temps de vous écouter, de prendre connaissance de vos symptômes et de vos attentes. Je retrace votre parcours de santé et je vous explique comment se déroule le suivi diététique dans le cadre du syndrome des ovaires polykystiques.

Cette étape est essentielle car elle permet de rentrer directement dans l’action et de voir des symptômes s’atténuer en changeant des comportements pas forcément alimentaires mais qui ont une répercussion sur la sphère digestive. C’est un accompagnement bienveillant qui permet d’agir en douceur.

Durant cette étape, qui peut être facultative, nous concentrons nos efforts sur la santé de l’intestin. Car changer ce qu’il y a dans notre assiette peut être inefficace si l’intestin est fatigué ou mal en point. Et le SOPK le fragilise par l’inflammation qu’elle entretient…

Parce que c’est parfois un organe mal connu ou mal aimé, il faut apprendre à le chouchouter. Microbiote intestinal, transit intestinal, probiotique, prébiotique,… à la fin de cette étape, ces termes n’auront plus de secrets pour vous.

A cette étape, une supplémentation peut vous être proposée.

Une fois les étapes précédentes passées, place à l’équilibre dans l’assiette : un journal alimentaire vous sera fourni à la fin de cette consultation. Il sera indispensable de le remplir le plus précisément possible sur une semaine complète. L’étude de vos habitudes alimentaires permettra d’évaluer la qualité de vos consommations quotidiennes et de mieux connaitre vos préférences alimentaires.

Ce travail sera à renvoyer par mail avant la consultation suivante, ce qui me laissera du temps pour étudier en profondeur vos apports journaliers. Une synthèse vous sera faite lors de la consultation suivante et je vous exposerai les ajustements nécessaires à l’équilibre alimentaire de vos repas quotidiens.

Cette étape est essentielle avant même de penser à une éviction alimentaire ou un rééquilibrage quelconque. Si votre alimentation est déséquilibrée, vous pouvez être sujette à des carences en vitamines et/ou minéraux qui empêche votre organisme de fonctionner de manière optimale.

Une supplémentation en micronutriments peut vous être proposée à cette étape.

Le SOPK est connu pour induire une résistance à l’insuline. Et c’est lorsque l’alimentation quotidienne provoque des pics glycémiques répétitifs que le risque de développer ce symptôme est le plus important.

Apprendre à modérer sa glycémie est un des piliers qui permet de mieux vivre avec le SOPK. Je vous accompagnerai dans la mise en place de cette alimentation tout en douceur.

Parce que l’alimentation n’est pas miracle mais qu’elle a un rôle clé sur notre santé, je peux vous proposer une alimentation anti-inflammatoire si les autres étapes ne vous ont pas suffisamment soulagée.

Pour éviter des évictions alimentaires inutiles qui compliqueraient votre quotidien et pourraient créer des frustrations, je pourrai vous proposer de réaliser un test d’intolérance alimentaire (facultatif).

Si à la suite de cette étape, un syndrome de l’intestin irritable est diagnostiqué (par votre médecin traitant ou un gastro-entérologue), un protocole pauvre en Fodmaps peut vous être également proposé.

Le SOPK est un syndrome qui peut évoluer (favorablement ou non) dans le temps. Il peut donc être nécessaire de faire le point dès que le besoins se fait sentir ou annuellement pour ajuster les recommandations nutritionnelles.

Ce peut être également l’occasion d’adapter son alimentation à des périodes clés comme une grossesse, un allaitement ou une ménopause, qui elles aussi, peuvent induire des dérèglements physiologiques symptomatiques ou des inquiétudes au sujet de l’équilibre alimentaire.